Bali Ubud Tejakula Astrid

14 Juillet 2016 , Rédigé par Philippe Caussanel Publié dans #Bali

Ubud Tejakula

Une journée de repos était sensée remettre mes jambes à neuf, mais je sens qu'elles auraient eu besoin d'un peu plus de temps.

Après un bon petit déjeuner (buffet cette fois) , le chauffeur de l'agence nous monte jusqu'à un temple. Temple que nous visitons. Et c'est encore un attrape-touristes, où l'on croise un vendeur avec lequel Papa réalise sa énième action humanitaire...

Nous commençons à pédaler à 10h30 mais nous sommes en hauteur donc il ne fait pas trop chaud. La route est tout à fait différente de celles que nous avions faites jusque là. La végétation relève plus d'une forêt européenne que tropicale et la température est très agréable. 10 kilomètres de montée sont annoncés mais nous n'en faisons que 6 avant de redescendre pendant une vingtaine de kilomètres , jusqu'à ce que nous atteignons la côte. La température semble avoir augmenté d'au moins 10 degrés. L'air est étouffant. Nous parcourons 8 kilomètres avant d'atteindre notre hébergement. L'hôtel est réussi. Piscine, frangipaniers , donnant sur la mer... Seul bémol: le restaurant. La nourriture est fade et les portions sont petites. Vous me direz que si la nourriture n'est pas terrible, tant mieux s'il y en a moins. Je vous le répète : le vélo, ÇA CREUSE.

Tejakula Amed

Le lendemain matin, nous partons le plus tôt possible par peur de la chaleur.

Il semblerait que papa et moi portions un panneau "pigeons" sur le front, car le restaurant de l'hôtel se fiche clairement de notre tête pour le petit-déjeuner. Les pâtes de papa ressemblent à des nouilles au micro-onde et mon "western breakfast" se résume à une crêpe, avec à l'intérieur, quelques fragments de bacon, de tomates... qu'ils osent appeler omelette avec bacon et tomates.

Après 38 kilomètres sur une route monotone le long de la côte , nous arrivons à notre nouvel hébergement à Ahmed. Je dis monotone car elle était toute droite, et sans vue sur la mer.

Il est environ midi lorsque nous faisons un repas mangue-papaye. Depuis le temps que j'en rêvais. La chaleur est écrasante, ce qui limite nos sorties de la chambre climatisée. Nous sortons tout de même pour nous renseigner concernant une sortie de plongée demain. Un salon de massage nous supplie d'entrer. Que voulez vous.. Papa et moi sommes toujours trop dociles.

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Bali Ubud Tejakula (7)

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